Le président du Bénin:
« Les bateaux pourront embarquer le pétrole nigérien dans les eaux béninoises si demain Niamey décide de collaborer»
La démarche du président doit être compris par les peuples des deux Etats pour la simple raison que son actuelle position sur l’exportation du pétrole du Niger tend à faire ramener son homologue du Niger à la raison. Le chef de l’État du Bénin ne veut qu’une chose qui est si simple : Que le Général Tiani ouvre les frontières terrestres pour le rétablissement des relations entre les deux peuples. « Je suis peiné par les relations tendues entre entre le Niger et le Bénin, deux pays amis et deux pays frères », regrette Patrice Talon. Il a surtout souligné que prendre le Bénin comme pays ennemi et répandre qu’il a amassé des troupes étrangères à ses frontières pour attaquer le Niger est totalement ridicule.
Ce qui est demandé à Niamey est-il aussi difficile au point de voir leurs autorités se conforter dans un jusqu’au-boutisme insensé ?
Ce qui est visible , c’est la main de Cotonou qui reste toujours tendue en direction de Niamey le vieil ami. En vue de renouer avec les relations qui existaient entre les deux pays frères dans le passé et surtout ouvrir les frontières. La balle est dans le camp de Tchiani s’il souhaite l’émergence économique de sa nation et l’épanouissement de ses opérateurs économiques.